« Martyr, c’est pourrir un peu. »
La mort est aussi ce charmant paravent derrière lequel un acolyte regrettable se change en ami regretté.
(Oui, un paravent… cet objet qui, puisqu’on l’utilise dans l’intimité des chambres closes, porte si bien son nom. Nul courant d’air ne le franchit.)
((Désarroi des paravents avant l’invention des domiciles fixes.))